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07/09/2018
11h56 : Penelope Fillon a été de nouveau entendue par les juges d’instruction hier, le 06/09/2018, dans le cadre de l’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs. François Fillon sera entendu par les juges du parquet financier ce vendredi.
05/07/2017
Deux des enfants du couple Fillon, Charles et Marie, ont été placés sous le statut de témoin assisté dans l’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs
28/03/2017
Pénélope Fillon a été mise en examen ce soir pour complicité et recel de détournement de fonds publics, d’abus de biens sociaux, et recel d’escroquerie aggravée.
24/03/2017
Marc Joulaud, ancien employeur de Penelope Fillon et suppléant de François Fillon, a été entendu depuis vendredi matin au pôle financier. Il a été mis en examen pour détournement de fonds publics.
22/03/2017
L’avocat de Pénélope Fillon dément les informations du Monde concernant l’authenticité des documents transmis à la justice.
21/03/2017
Selon les informations du Monde, le parquet national financier (PNF) a délivré, jeudi 16 mars, un réquisitoire supplétif pour « escroquerie aggravée, faux et usage de faux » aux juges d’instruction en charge de l’enquête sur les époux Fillon, ouverte pour détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d’influence et manquement aux obligations déclaratives.
16/03/2017
L’affaire des costumes de François Fillon fait désormais l’objet d’une enquête du Parquet national financier.
La justice s’empare de l’affaire des costumes de François Fillon. Selon nos informations, le Parquet national financier (PNF) vient d’accorder un réquisitoire supplétif contre X pour « trafic d’influence » aux trois juges d’instruction en charge du dossier de l’emploi fictif présumé de Penelope Fillon et des enfants du couple.
14/03/2017
François Fillon a été mis en examen, mardi 14 mars, pour « détournement de fonds public », « complicité et recel de détournement de fonds publics », « complicité et recel d’abus de bien sociaux », et « manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », selon plusieurs sources judiciaires.
Initialement prévue mercredi devant des juges d’instruction dans le cadre de l’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs de son épouse et de deux de ses enfants, « l’audition a été avancée pour qu’elle se déroule dans des conditions de sérénité », a précisé l’avocat de M. Fillon Antonin Lévy à l’Agence France-Presse.
07/03/2017
Selon le Canard enchaîné, François Fillon a bénéficié en 2013 d’un prêt de 50.000 euros auprès de Marc Ladreit de Lacharrière, l’actuel propriétaire de la Revue des deux mondes. Un prêt qui serait sans intérêts et qui n’aurait pas été déclaré par l’ancien premier ministre.
Cet emprunt n’aurait pas été déclaré auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. Ce prêt a été « intégralement remboursé », a de son côté assuré l’avocat de François Fillon, Me Antonin Lévy, au Canard.
Le candidat explique, par la voix de son avocat, avoir oublié de renseigner ce prêt dans sa déclaration de patrimoine à la Hautre autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
06/03/2017
Le comité politique LR a renouvelé à l’unanimité son soutien à François Fillon. Ce dernier a indiqué qu’il prendra des initiatives. « Les Républicains sont donc déterminés et rassemblés autour de François Fillon », a lancé Gérard Larcher.
Dans un communiqué Nicolas Sarkozy propose une réunion avec François Fillon et Alain Juppé « pour trouver une voie de sortie ».
Selon l’AFP, des proches de Sarkozy demandent à Fillon de se choisir « un successeur ».
Conférence de presse d’Alain Juppé : «J’ai reçu de très nombreux appels qui m’ont fait hésiter». «Une partie du centre nous a quittés. Le noyau des militants LR s’est radicalisé», a-t-il diagnostiqué. «Je ne suis pas en mesure aujourd’hui de réaliser le nécessaire rassemblement autour d’un projet fédérateur», a-t-il cependant assuré, expliquant qu’il n’avait pas l’intention de s’engager dans des tractations partisanes. «C’est pourquoi je confirme, une bonne fois pour toutes, que je ne serai pas candidat à la présidence de la République», conclut-il.
05/03/2017
Le journaliste photographe Patrick Aventurier a été brutalisé par deux gardes du corps à la fin du meeting tenu par François Fillon ce jeudi à Nîmes. Son témoignage sur Mediaterranee.com.
Un sondage Ifop révèle que près de trois quarts des Français (71%) souhaitent le voir renoncer à sa candidature à la Présidentielle. Ils lui préféreraient Alain Juppé.
Fillon annule un journal télévisé de France 2 dimanche soir et une radio d’Europe 1 lundi matin.
04/03/2017
Une nouvelle perquisition a eu lieu visant la résidence des époux Fillon, en l’occurrence leur château de Beaucé, près de Sablé-sur-Sarthe (Sarthe). Les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales ont mené vendredi une perquisition au château des Fillon, près de Sablé-sur-Sarthe, selon des informations du « Parisien » . La veille, les enquêteurs avaient perquisitionné le domicile parisien des époux Fillon . Trois juges d’instruction enquêtent depuis le 24 février sur des soupçons de détournements de fonds, trafic d’influence, abus de biens sociaux, et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique
03/03/2017
Thierry Solère, organisateur de la primaire à droite, aurait annoncé à François Fillon qu’il quittait son rôle de porte-parole de sa campagne. Une centaine d’élu ont lâché le candidat des républicains.
Le parti centriste UDI retire son soutien à François Fillon.
Patrick Stefanini, le directeur campagne de Fillon, a également démissionné.
02/03/2017
Les deux directeurs adjoints de la campagne de Fillon (Vincent Le Roux et Sébastien Lecornu) démissionnent.
Selon Le Parisien, une perquisition a été menée ce jeudi matin au domicile des époux Fillon.
01/03/2017
La prétendue garde à vue de Pénélope Fillon annoncé par Mediapart a été catégoriquement démentie par des sources judiciaire. François et Penelope Fillon ainsi que leurs enfants ont reçu des convocations pour la mi-mars en vue de mises en examen.
« Je ne céderai pas, je ne me rendrai pas, je ne me retirerai pas ». Lors de sa conférence de presse du mercredi 1er mars, François Fillon a plus que jamais affirmé son souhait d’aller jusqu’au bout de cette campagne présidentielle. Le candidat s’est exprimé quelques heures après avoir annulé sa venue au Salon de l’agriculture. « Mon avocat a été informé que je serai convoqué le 15 mars par le juge d’instruction afin d’être mis en examen », a révélé François Fillon au début de son allocution.
Contrairement à ce qu’il avait affirmé au tout début de l’affaire, cette possible mise en examen ne signifiera pas la fin de sa candidature. « C’est au peuple français que j’en appelle désormais, à ceux qui me suivent comme à ceux qui me combattent, seul le suffrage universel peut décider de qui sera le président de la République », a déclaré François Fillon. « J’irai jusqu’au bout parce que c’est la démocratie qui est défiée », a poursuivi le candidat.
Suite à la conférence de presse de François Fillon, chargé de l’international dans la campagne de François Fillon, l’ex-candidat à la primaire Bruno Le Maire démissionne de ses fonctions.
Selon Valeurs Actuelles, une demande a été déposée à la préfecture de police de Paris pour un rassemblement au Trocadéro dimanche en soutien à François Fillon.
24/02/2017
Le parquet national financier (PNF) ouvre une information judiciaire dans le cadre de l’affaire Fillon, selon Le Parisien. Les investigations vont être désormais confiées à trois juges d’instruction.
En cas de mise en examen, la peine maximale encourue est de 10 ans de prison et 1 million d’euros d’amende.
Coup de massue pour le champion de la droite. L’information judiciaire porte sur des faits éventuels de « détournements de fonds publics, abus de biens sociaux et recel, trafic d’influence et manquement aux obligations déclaratives ».
16/02/2017
Les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales ont remis leur rapport au parquet national financier. La justice a décidé de ne pas classer l’enquête qui va ainsi se poursuivre.
09/02/2017
18h30 : Lors d’une conférence de presse, les avocats du couple Fillon ont annoncé leur intention de déposer plainte pour violation du secret de l’enquête.
L’avocat de François Fillon, Me Antonin Lévy, a réaffirmé que le parquet national financier n’était pas compétent pour se saisir des faits qui pourraient être reprochés à l’ancien Premier ministre. Il a donc demandé à la justice d’abandonner une « enquête illégale ». Or, pour les avocats, « l’infraction de détournement de fonds publics ne peut être reprochée à François Fillon », car à leurs yeux ce délit n’est pas applicable à un parlementaire. « L’absence de cette infraction rend le PNF incompétent pour enquêter et son enquête en devient illégale », a insisté Me Lévy. Les avocats du couple ont également pointé du doigt les révélations faites dans la presse, dénonçant des « violations insupportables du secret » de l’enquête.
13h00 : Une conférence de presse des avocats du couple Fillon sera retransmise par les chaînes d’infos à 17h00.
07/02/2017
17h15 : Assistante parlementaire mais aussi journaliste : pendant près d’un an et demi, Penelope Fillon a exercé deux emplois à temps plein. Lors de son audition devant les policiers, François Fillon a reconnu que son épouse était employée à la Revue des deux mondes, entre mai 2012 (et non depuis septembre comme il l’avait précédemment indiqué dans sa déclaration d’intérêts à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique) et décembre 2013. Or, presque à la même période, de juillet 2012 à novembre 2013, elle disposait d’un autre contrat, étant cette fois collaboratrice de son mari à l’Assemblée. Selon des sources proches de l’enquête, ces deux contrats étaient censés être à temps plein. (Le Parisien)
16h50 : L’épouse du candidat de la droite à la présidentielle a touché au total 45 000 euros d’indemnités de licenciement payées par l’Assemblée nationale, révèle le Canard enchaîné dans son édition à paraître ce mercredi.
06/02/2017
17h00 : Extraits de conférence de presse de François Fillon
«Je suis honnête. Et c’est la raison pour laquelle cette accusation m’est tombée dessus comme un coup de tonnerre.»
«Aucun d’entre vous n’a de réflexion sur la semaine qui vient de se passer. On m’a lynché, assassiné médiatiquement… Je pense que cela pose un problème, et même un problème pour la démocratie.»
«Pourquoi rembourserais-je ces sommes ? Ma femme a travaillé et elle a donné les preuves de ce travail»
«Je suis le seul candidat en mesure de mettre en place un programme de rigueur. Il dit comprendre les doutes. Une majorité de Français de droite souhaitent que je poursuive. Oui, je suis le seul qui peut permettre le redressement national et je vais mener ce combat. La colère froide qui est en moi aujourd’hui va me donner plus de force»
«Rien ne me détournera des vrais enjeux de cette présidentielle. J’ai été choisi par des millions de Français, je ne suis pas le candidat d’un parti. Dès ce soir, j’annonce ici que c’est une nouvelle campagne qui s’annonce.»
«En travaillant avec ma femme et mes enfants, j’ai privilégié cette collaboration de confiance qui suscite aujourd’hui la défiance. C’était une erreur et je présente mes excuses aux Français». «J’ai cessé il y a plus de trois ans toute collaboration avec ma famille, contrairement à beaucoup de ceux qui me font aujourd’hui la leçon»
«J’ai employé mes enfants comme collaborateurs parlementaires pour 3 000 euros par mois en moyenne pour chacun, rien n’était dissimulé, les sommes perçues ont été déclarées aux impôts. Oui, tout cela était légal. Mais suis-je pour autant quitte sur le plan moral ? Cette question éthique me place face à la conscience et face aux Français. Ce n’est pas au système médiatique de me juger, c’est aux Français et à eux seuls»
«Oui, Penelope a été ma collaboratrice. Elle est encore ma collaboratrice. Elle est payée 3 677 euros net par mois, salaire parfaitement justifié pour une personne diplômée de droit et de lettres»
«Je comprends les interrogations, le besoin de me voir clarifier les choses, et je vais le faire parce que je n’ai rien à cacher»
12h45 : Selon le quotidien Télégramme, François Fillon veut rembourser les sommes «qui nourrissent à la fois l’action de la Justice et une vive polémique autour de la notion d’emplois fictifs de Penelope Fillon, du niveau même de ces diverses rémunérations, voire des sommes versées par François Fillon père à ses enfants».
09h55 : François Fillon tiendra une conférence de presse à 16h00 à son QG de campagne.
09h00 : Alain Juppé a twitté ce matin de déclare à nouveau ne pas être un recours suite à l’affaire Penelope.
03/02/2017
10h45 : Une perquisition est en cours au Sénat selon Le Parisien, pour y chercher les badges des assistants parlementaires de François Fillon à l’époque où il était sénateur de la Sarthe (2005-2007).
Le Sénat va transmettre au parquet financier national des documents demandés concernant les emplois occupés par les enfants de François Fillon, Marie et Charles, quand ils étaient ses collaborateurs à la Haute Assemblée, a annoncé vendredi le président du Sénat.
09h20 : Le tract contre «la chasse à l’homme» va être distribué par les équipes de campagne de François Fillon.
02/02/2017
16h20 : Penelope Fillon a fourni aux enquêteurs « tous les détails démontrant l’existence d’un travail effectif » comme assistante parlementaire de François Fillon, a déclaré jeudi l’avocat de l’épouse du candidat de la droite à la présidentielle, dans un communiqué.
13h15 : Le parquet national financier a demandé l’élargissement de l’enquête aux activités des enfants du couple, soupçonnés d’avoir eux aussi été rémunérés pour un travail qu’ils n’auraient pas fait.
Le député Les Républicains Georges Fenech a réfuté avoir été sanctionné par la direction du parti pour avoir osé remettre en question la candidature de François Fillon à la présidentielle.
07h55 : Les enfants Fillon, Marie et Charles, vont à leur tour être entendus par la justice, afin de justifier leur activité, rapporte RTL. Rappelons qu’ils ont été salariés en tant qu’attachés parlementaires quand François Fillon était sénateur entre 2005 et 2007.
07h25 : Le conseil stratégique des Républicains a décidé de sanctionner le député sarkozyste Georges Fenech en lui retirant son investiture aux législatives après avoir déclaré que «le résultat de la primaire était caduc ».
06h50 : C’est un document qui met un peu plus à mal la défense de François Fillon. Dans un entretien vidéo accordé en mai 2007 à un quotidien britannique, Penelope Fillon se confie sur sa vie. A propos de son mari, elle déclare « je n’ai jamais été son assistante, ou quoi que ce soit de ce genre-là », au cours de cette interview longue de 45 minutes, et dont le magazine « Envoyé spécial » diffusera des extraits, jeudi 2 février sur France 2 à 20h50.
01/02/2017
21h00 : François Fillon prépare une offensive dans les médias. Le couple Fillon va être à la une du journal Paris Match, jeudi 2 février. Il y a aussi une tribune à paraître dans Le Figaro, ayant pour titre, « Pour l’honneur d’un homme et l’avenir de la France ». Des personnalités de toutes obédiences ont signé cette tribune : des fillonnistes bien sûr, mais aussi des sarkozystes, comme Brice Hortefeux, ou des juppéistes, comme Jean-Pierre Raffarin.
20h50 : « Quoi qu’il arrive, je ne serai jamais un plan B », annonce Alain Juppé devant des journalistes à Bordeaux.
17h15 : « Je serai candidat à l’élection présidentielle » réaffirme François Fillon depuis le salon des entrepreneurs.
15h10 : Le Canard enchaîné en rupture de stock.
L’hebdomadaire qui a révélé le scandale dans son édition du 25 janvier, puis dans celle du 1er février, est très demandé en kiosques.
13h45 : L’Elysée a répliqué aux accusations de François Fillon: « le seul pouvoir, c’est celui de la justice, qu’on doit laisser travailler, et les seules exigences sont celles de la transparence et de l’exemplarité ».
12h30 : Face aux parlementaires Les Républicains, François Fillon a dénoncé mercredi un « un coup d’Etat institutionnel » venu de « la gauche ». « Je vous demande de tenir 15 jours et d’être solidaires », a exhorté le candidat de la droite alors que l’hypothèse d’un plan B en vue de la présidentielle se renforce. « La crédibilité de ma candidature est remise en cause » par cette affaire, a-t-il encore dénoncé.
08h59 : Selon une information de FranceInfo, les noms de domaine Baroin2017.fr, Wauquiez2017.fr et Bertrand2017.fr viennent d’être déposés. Après vérification, ces noms de domaine ont été déposés via des « registrars » différents.
31/01/2017
19h45 : Francois Fillon a déclaré ce mardi être « confiant » et « serein » dans l’attente de la clôture de l’enquête judiciaire le visant et a dénoncé « une entreprise de calomnie très professionnelle ». « J’ai confiance dans la justice. (…) je suis confiant, je suis serein, j’attends désormais la fin de cette enquête », a-t-il dit en préambule d’une intervention devant le groupe EBG, un cercle de réflexion d’entrepreneurs sur l’innovation digitale.
31/01/2017 à 18h35 : Selon le Canard Enchaîné, les enquêteurs ont découvert 15 comptes bancaires appartenant à François Fillon au lieu d’un seul comme il l’a déclaré publiquement.
31/01/2017 à 17h20 : Le site internet du Canard enchaîné, hors service après la diffusion de sa Une de demain.
31/01/2017 à 16h35 : Jeudi soir, le magazine de France 2 « Envoyé Spécial » diffusera un sujet consacré à François Fillon avec normalement de nouvelles révélations.
31/01/2017 à 16h25 : Selon les informations du Monde, François Fillon a invité les parlementaires LR à son QG de campagne pour une réunion prévue demain à 11h30 afin d’échanger sur ses difficultés actuelles. Le rendez-vous n’était pas prévu mais il s’est imposé de lui-même, compte tenu des remous suscités par « l’affaire Penelope ».
31/01/2017 à 11h50 : Une perquisition est en cours à l’Assemblée Nationale.
Les enquêteurs du parquet financier de Paris ont investi ce mardi matin une annexe où sont situés les services administratifs de l’Assemblée nationale, dans le cadre de l’enquête préliminaire ouverte sur l’emploi présumé fictif de son épouse, Penelope. Ils veulent récupérer des documents et contrats de travail permettant de faire le jour sur l’emploi fictif dont aurait pu bénéficier Penelope Fillon.
Selon nos confrères du Parisien, ces diverses investigations ont permis aux policiers et aux magistrats d’avoir la certitude que Penelope Fillon ne disposait ni de badge d’accès, ni de messagerie électronique spécifique, lorsqu’elle était assistante parlementaire, entre 1998 et 2007.
30/01/2017 à 15h30 : François Fillon et sa femme Penelope Fillon, sont actuellement entendus par les enquêteurs du parquet financier, selon une information de BFMTV.
27/01/2017 à 10h10 : Le maire de Bordeaux, Alain Juppé (Les Républicains), a exclu ce vendredi « clairement et définitivement » d’être un recours dans l’éventualité d’un retrait du candidat de la droite à la présidentielle, François Fillon, qui l’a battu lors de la primaire.
27/01/2017 à 08h00 : Selon BFMTV, une dizaine de parlementaires ont appelé la Haute autorité pour la transparence de la vie publique pour modifier la déclaration faite auprès d’elle et mettre un terme aux contrats passés avec certains de leurs collaborateurs.
76% des Français veulent interdire aux parlementaires d’embaucher des membres de leur famille
25/01/2017 à 19h30 : Dans un communiqué, le candidat de la droite, François Fillon, déclare vouloir être reçu au parquet financier dans « les plus brefs délais ».
La justice n’a pas tardé à réagir : elle va enquêter sur Penelope Fillon, l’épouse de François Fillon, qui a travaillé pour son mari en tant qu’assistante parlementaire pendant huit ans.
Cette enquête préliminaire, ouverte ce mercredi par le parquet national financier (PNF), fait suite aux révélations du Canard Enchaîné selon lequel Penelope Fillon a perçu 500 000 euros bruts en tant qu’assistante parlementaire, l’hebdomaire satirique mettant -témoignages à l’appui- en doute la réalité de ce travail.
L’enquête, confiée à la direction centrale de la police judiciaire, va notamment s’attacher à vérifier si Penelope Fillon a effectivement fourni des prestations en échange de ces salaires -ce que soutient l’entourage de François Fillon- ou bien s’il s’agissait d’un emploi fictif.
Source : leparisien.fr